ven 9 Déc - 21:00 30,00 CHF-COMPLET
SYLVAIN LUC & DANIEL HUMAIR & FRANCO AMBROSETTI & VINCENT LE QUANG 4 TET
Sylvain Luc, g; Daniel Humair, dm; Franco Ambrosetti, tp/bu; Vincent le Quang, sax
Si Sylvain a déjà joué avec Daniel et Daniel avec Franco, Sylvain n’avait jamais rencontré Franco, une des plus grands légendes du jazz helvétique. Mais Sylvain n’avait jamais rencontré non plus Vincent, tout comme Franco alors que pour Daniel et Vincent, c’est une histoire qui dure. Et pourtant, ils avaient tous envie de partager la scène ensemble et d’unir leurs univers musicaux, le temps d’une soirée exceptionnelle. Depuis toujours, Franco mène une double vie, homme d’affaires à succès la journée et musicien mondialement connu la nuit! Il est d’ailleurs cité dans le «Dictionnaire du Jazz» chez Robert Laffont. En 1966, il est lauréat de la «Vienna International Jazz Competition» et se produit à cette occasion avec le pianiste Friedrich Gulda. Puis son parcours croise le gratin du jazz contemporain: Gato Barbieri, Daniel Humair, George Gruntz. Phil Woods, Dexter Gordon, Cannonball Adderley, Joe Henderson, Michael Brecker, Mike Stern, Kenny Clarke, Michael Brecker, John Scofield, Ron Carter, Dave Holland, Kenny Barron. Remarqué très tôt par Daniel Humair avec qui il collabore depuis bientôt 20 ans, Vincent le Quang fit sensation en remportant le premier prix de Soliste et le premier prix d’Orchestre du Concours de Jazz de la Défense en 2003 pour son duo avec le célèbre accordéoniste Vincent Peirani. Sur scène ou sur disque, on peut l’entendre avec Henri Texier, Louis Sclavis, Riccardo Del Fra, Marc Ducret, Simon Goubert, sans oublier le trio formé en 2006 avec Jeanne Added et Bruno Ruder. Attention: sous ses airs de gendre idéal (qu’il est sans doute), se cache un musicien hors du commun et un improvisateur hors norme. Enfin Daniel!!! Il prend ses premiers cours de tambour à l’âge de 7 ans à la Fanfare l’Ondine de Genève. Un instructeur visionnaire lui explique qu’il ne saura jamais jouer du tambour et qu’il ferait mieux de se tourner vers le football! Daniel quitte donc la fanfare et ne se lance pas dans une carrière de footballeur! La suite, on la connaît et c’est si dense qu’on préfère juste signaler qu’il n’a pas pu jouer avec Miles Davis ni Sonny Rollins. À part eux, la quasi-totalité du dictionnaire du jazz (dans lequel c’est un autre suisse qui est cité!) a défilé au son de ses fûts. Daniel est notre parrain et c’est «notre Daniel». Chorus lui doit beaucoup!
UN QUARTET INCROYABLE SOUS FORME D’UNE RENCONTRE INÉDITE DE 4 AUTHENTIQUES TÉNORS DU JAZZ!FORMULAIRE DE RESERVATION